Le train électrique à crémaillère du Salève, Haute-Savoie - Visite du 6 juillet 2017, guidée par Gérard Lepère

Publié le par arhyme.asso.over-blog.com

Le 6 juillet, nous sommes conviés par Gérard (membre éminent de l'association d'histoire La Salévienne), à venir découvrir "son train électrique" du Salève.

Le rendez-vous est au sommet de la crête du Grand Salève, qui domine la ville de Genève et le lac Léman, à 1140 m d'altitude.

Ce lieu, très apprécié des habitants du voisinage (Suisses et Français), a d'abord été accessible par un train électrique à crémaillère à partir de 1892, jusqu'en 1935.

Le progrès technique, qui a permis en 1932 de faire monter une route jusqu'au sommet et même un téléphérique, a rendu obsolète le joli petit train. Tous ses équipements ont été démontés pour récupérer les métaux et matériaux ! Seuls le tracé de la voie et quelques ouvrages d'art (ponts, tunnel et gares...) subsistent.

Mais des amateurs de ce petit bijou technique ont rassemblé toutes les documentations et photos existantes pour le faire revivre et nous le présenter (dont l'association La Salévienne, chère à Gérard).

Le livret de Gérard Lepère, "Le chemin de fer électrique et à crémaillère du Salève (Haute-Savoie)" paru en 2015, en présente la synthèse (consultable sur internet).

 

En montant par le téléphérique, on découvre une vue impressionnante sur Genève et le lac Léman. En 1892, l'accès au sommet voisin se faisait grâce au petit train électrique à crémaillère qui venant d'être construit, jusqu'à la gare des Treize-Arbres (Trois en patois local). Sur la 3e photo, on découvre le tracé de la ligne qui montait du Pas-de-l'Echelle (près de Veyrier, Suisse) jusqu'au sommet aux Treize-Arbres.
En montant par le téléphérique, on découvre une vue impressionnante sur Genève et le lac Léman. En 1892, l'accès au sommet voisin se faisait grâce au petit train électrique à crémaillère qui venant d'être construit, jusqu'à la gare des Treize-Arbres (Trois en patois local). Sur la 3e photo, on découvre le tracé de la ligne qui montait du Pas-de-l'Echelle (près de Veyrier, Suisse) jusqu'au sommet aux Treize-Arbres.
En montant par le téléphérique, on découvre une vue impressionnante sur Genève et le lac Léman. En 1892, l'accès au sommet voisin se faisait grâce au petit train électrique à crémaillère qui venant d'être construit, jusqu'à la gare des Treize-Arbres (Trois en patois local). Sur la 3e photo, on découvre le tracé de la ligne qui montait du Pas-de-l'Echelle (près de Veyrier, Suisse) jusqu'au sommet aux Treize-Arbres.
En montant par le téléphérique, on découvre une vue impressionnante sur Genève et le lac Léman. En 1892, l'accès au sommet voisin se faisait grâce au petit train électrique à crémaillère qui venant d'être construit, jusqu'à la gare des Treize-Arbres (Trois en patois local). Sur la 3e photo, on découvre le tracé de la ligne qui montait du Pas-de-l'Echelle (près de Veyrier, Suisse) jusqu'au sommet aux Treize-Arbres.
En montant par le téléphérique, on découvre une vue impressionnante sur Genève et le lac Léman. En 1892, l'accès au sommet voisin se faisait grâce au petit train électrique à crémaillère qui venant d'être construit, jusqu'à la gare des Treize-Arbres (Trois en patois local). Sur la 3e photo, on découvre le tracé de la ligne qui montait du Pas-de-l'Echelle (près de Veyrier, Suisse) jusqu'au sommet aux Treize-Arbres.
En montant par le téléphérique, on découvre une vue impressionnante sur Genève et le lac Léman. En 1892, l'accès au sommet voisin se faisait grâce au petit train électrique à crémaillère qui venant d'être construit, jusqu'à la gare des Treize-Arbres (Trois en patois local). Sur la 3e photo, on découvre le tracé de la ligne qui montait du Pas-de-l'Echelle (près de Veyrier, Suisse) jusqu'au sommet aux Treize-Arbres.

En montant par le téléphérique, on découvre une vue impressionnante sur Genève et le lac Léman. En 1892, l'accès au sommet voisin se faisait grâce au petit train électrique à crémaillère qui venant d'être construit, jusqu'à la gare des Treize-Arbres (Trois en patois local). Sur la 3e photo, on découvre le tracé de la ligne qui montait du Pas-de-l'Echelle (près de Veyrier, Suisse) jusqu'au sommet aux Treize-Arbres.

Pendant que des parapentes décollent du sommet, sur la prairie décorée de gentianes bleues, Gérard et les participants à la visite arrivent par le téléphérique et c'est le regroupement à l'ombre pour le briefing de Gérard.
Pendant que des parapentes décollent du sommet, sur la prairie décorée de gentianes bleues, Gérard et les participants à la visite arrivent par le téléphérique et c'est le regroupement à l'ombre pour le briefing de Gérard.
Pendant que des parapentes décollent du sommet, sur la prairie décorée de gentianes bleues, Gérard et les participants à la visite arrivent par le téléphérique et c'est le regroupement à l'ombre pour le briefing de Gérard.
Pendant que des parapentes décollent du sommet, sur la prairie décorée de gentianes bleues, Gérard et les participants à la visite arrivent par le téléphérique et c'est le regroupement à l'ombre pour le briefing de Gérard.
Pendant que des parapentes décollent du sommet, sur la prairie décorée de gentianes bleues, Gérard et les participants à la visite arrivent par le téléphérique et c'est le regroupement à l'ombre pour le briefing de Gérard.
Pendant que des parapentes décollent du sommet, sur la prairie décorée de gentianes bleues, Gérard et les participants à la visite arrivent par le téléphérique et c'est le regroupement à l'ombre pour le briefing de Gérard.

Pendant que des parapentes décollent du sommet, sur la prairie décorée de gentianes bleues, Gérard et les participants à la visite arrivent par le téléphérique et c'est le regroupement à l'ombre pour le briefing de Gérard.

Notre groupe de 34 personnes se met en route face à la chaîne du mont Blanc. Le premier objectif est la gare des Treize-Arbres, au sommet de la ligne du train à crémaillère.
Notre groupe de 34 personnes se met en route face à la chaîne du mont Blanc. Le premier objectif est la gare des Treize-Arbres, au sommet de la ligne du train à crémaillère.
Notre groupe de 34 personnes se met en route face à la chaîne du mont Blanc. Le premier objectif est la gare des Treize-Arbres, au sommet de la ligne du train à crémaillère.
Notre groupe de 34 personnes se met en route face à la chaîne du mont Blanc. Le premier objectif est la gare des Treize-Arbres, au sommet de la ligne du train à crémaillère.
Notre groupe de 34 personnes se met en route face à la chaîne du mont Blanc. Le premier objectif est la gare des Treize-Arbres, au sommet de la ligne du train à crémaillère.

Notre groupe de 34 personnes se met en route face à la chaîne du mont Blanc. Le premier objectif est la gare des Treize-Arbres, au sommet de la ligne du train à crémaillère.

Nous sommes sur la voie du train, nous passons sous ou sur des ponts : le pont du Renard, le pont du Loup... La végétation, qui a envahi tout le domaine ferroviaire, met en valeur ces beaux vestiges. On trouve même des bouquets de cyclamens.
Nous sommes sur la voie du train, nous passons sous ou sur des ponts : le pont du Renard, le pont du Loup... La végétation, qui a envahi tout le domaine ferroviaire, met en valeur ces beaux vestiges. On trouve même des bouquets de cyclamens.
Nous sommes sur la voie du train, nous passons sous ou sur des ponts : le pont du Renard, le pont du Loup... La végétation, qui a envahi tout le domaine ferroviaire, met en valeur ces beaux vestiges. On trouve même des bouquets de cyclamens.
Nous sommes sur la voie du train, nous passons sous ou sur des ponts : le pont du Renard, le pont du Loup... La végétation, qui a envahi tout le domaine ferroviaire, met en valeur ces beaux vestiges. On trouve même des bouquets de cyclamens.

Nous sommes sur la voie du train, nous passons sous ou sur des ponts : le pont du Renard, le pont du Loup... La végétation, qui a envahi tout le domaine ferroviaire, met en valeur ces beaux vestiges. On trouve même des bouquets de cyclamens.

Un passage creusé dans la roche, puis un pont et la voie en remblai construite en aval avec les pierres récupérées dans la tranchée ferroviaire. Puis nous arrivons à proximité de la gare de Monnetier-Mairie.
Un passage creusé dans la roche, puis un pont et la voie en remblai construite en aval avec les pierres récupérées dans la tranchée ferroviaire. Puis nous arrivons à proximité de la gare de Monnetier-Mairie.
Un passage creusé dans la roche, puis un pont et la voie en remblai construite en aval avec les pierres récupérées dans la tranchée ferroviaire. Puis nous arrivons à proximité de la gare de Monnetier-Mairie.
Un passage creusé dans la roche, puis un pont et la voie en remblai construite en aval avec les pierres récupérées dans la tranchée ferroviaire. Puis nous arrivons à proximité de la gare de Monnetier-Mairie.

Un passage creusé dans la roche, puis un pont et la voie en remblai construite en aval avec les pierres récupérées dans la tranchée ferroviaire. Puis nous arrivons à proximité de la gare de Monnetier-Mairie.

La gare de Monnetier-Mairie qui était au noeud ferroviaire où se faisait la jonction des 2 lignes venant de la vallée : Veyrier (où nous allons) et Etrembières. Ensuite, la montée se faisait par la voie unique que nous venons de parcourir et allait jusqu'au sommet des Treize-Arbres.

La gare de Monnetier-Mairie qui était au noeud ferroviaire où se faisait la jonction des 2 lignes venant de la vallée : Veyrier (où nous allons) et Etrembières. Ensuite, la montée se faisait par la voie unique que nous venons de parcourir et allait jusqu'au sommet des Treize-Arbres.

Après les ruines d'un grand hôtel de luxe ravagé par les squaters et des incendies, Gérard nous montre l'entrée du gouffre de Bellevue. C'est là que Gérard a découvert sa passion pour la spéléologie en allant chercher des vestiges du train qui auraient pu tomber dans ce gouffre profond de 160 m. Il y a trouvé effectivement un élément de crémaillère.
Après les ruines d'un grand hôtel de luxe ravagé par les squaters et des incendies, Gérard nous montre l'entrée du gouffre de Bellevue. C'est là que Gérard a découvert sa passion pour la spéléologie en allant chercher des vestiges du train qui auraient pu tomber dans ce gouffre profond de 160 m. Il y a trouvé effectivement un élément de crémaillère.

Après les ruines d'un grand hôtel de luxe ravagé par les squaters et des incendies, Gérard nous montre l'entrée du gouffre de Bellevue. C'est là que Gérard a découvert sa passion pour la spéléologie en allant chercher des vestiges du train qui auraient pu tomber dans ce gouffre profond de 160 m. Il y a trouvé effectivement un élément de crémaillère.

Nous passons près d'un lavoir en pierre, puis à Monnetier-Eglise, où Gérard rencontre des amis locaux, près du mûrier (arbre remarquable). Il nous montre son restaurant préféré, avec une magnifique salle ancienne.
Nous passons près d'un lavoir en pierre, puis à Monnetier-Eglise, où Gérard rencontre des amis locaux, près du mûrier (arbre remarquable). Il nous montre son restaurant préféré, avec une magnifique salle ancienne.
Nous passons près d'un lavoir en pierre, puis à Monnetier-Eglise, où Gérard rencontre des amis locaux, près du mûrier (arbre remarquable). Il nous montre son restaurant préféré, avec une magnifique salle ancienne.
Nous passons près d'un lavoir en pierre, puis à Monnetier-Eglise, où Gérard rencontre des amis locaux, près du mûrier (arbre remarquable). Il nous montre son restaurant préféré, avec une magnifique salle ancienne.
Nous passons près d'un lavoir en pierre, puis à Monnetier-Eglise, où Gérard rencontre des amis locaux, près du mûrier (arbre remarquable). Il nous montre son restaurant préféré, avec une magnifique salle ancienne.
Nous passons près d'un lavoir en pierre, puis à Monnetier-Eglise, où Gérard rencontre des amis locaux, près du mûrier (arbre remarquable). Il nous montre son restaurant préféré, avec une magnifique salle ancienne.

Nous passons près d'un lavoir en pierre, puis à Monnetier-Eglise, où Gérard rencontre des amis locaux, près du mûrier (arbre remarquable). Il nous montre son restaurant préféré, avec une magnifique salle ancienne.

Nous arrivons à l'entrée du tunnel du Pas de l'Echelle, long de 119 m, avec 2 ouvertures sur le flanc de la paroi rocheuse qui donnent une vue aérienne sur la vallée. Les eaux de l'Arve (sur la 3° photo) alimentent la centrale hydro-électrique d'Arthaz, elle avait été construite pour fournir la puissance électrique nécessaire au train du Salève.  La carte postale d'époque montre la sortie aval du tunnel où se faisait le croisement des trains montant et descendant.
Nous arrivons à l'entrée du tunnel du Pas de l'Echelle, long de 119 m, avec 2 ouvertures sur le flanc de la paroi rocheuse qui donnent une vue aérienne sur la vallée. Les eaux de l'Arve (sur la 3° photo) alimentent la centrale hydro-électrique d'Arthaz, elle avait été construite pour fournir la puissance électrique nécessaire au train du Salève.  La carte postale d'époque montre la sortie aval du tunnel où se faisait le croisement des trains montant et descendant.
Nous arrivons à l'entrée du tunnel du Pas de l'Echelle, long de 119 m, avec 2 ouvertures sur le flanc de la paroi rocheuse qui donnent une vue aérienne sur la vallée. Les eaux de l'Arve (sur la 3° photo) alimentent la centrale hydro-électrique d'Arthaz, elle avait été construite pour fournir la puissance électrique nécessaire au train du Salève.  La carte postale d'époque montre la sortie aval du tunnel où se faisait le croisement des trains montant et descendant.
Nous arrivons à l'entrée du tunnel du Pas de l'Echelle, long de 119 m, avec 2 ouvertures sur le flanc de la paroi rocheuse qui donnent une vue aérienne sur la vallée. Les eaux de l'Arve (sur la 3° photo) alimentent la centrale hydro-électrique d'Arthaz, elle avait été construite pour fournir la puissance électrique nécessaire au train du Salève.  La carte postale d'époque montre la sortie aval du tunnel où se faisait le croisement des trains montant et descendant.
Nous arrivons à l'entrée du tunnel du Pas de l'Echelle, long de 119 m, avec 2 ouvertures sur le flanc de la paroi rocheuse qui donnent une vue aérienne sur la vallée. Les eaux de l'Arve (sur la 3° photo) alimentent la centrale hydro-électrique d'Arthaz, elle avait été construite pour fournir la puissance électrique nécessaire au train du Salève.  La carte postale d'époque montre la sortie aval du tunnel où se faisait le croisement des trains montant et descendant.

Nous arrivons à l'entrée du tunnel du Pas de l'Echelle, long de 119 m, avec 2 ouvertures sur le flanc de la paroi rocheuse qui donnent une vue aérienne sur la vallée. Les eaux de l'Arve (sur la 3° photo) alimentent la centrale hydro-électrique d'Arthaz, elle avait été construite pour fournir la puissance électrique nécessaire au train du Salève. La carte postale d'époque montre la sortie aval du tunnel où se faisait le croisement des trains montant et descendant.

En dessous du tunnel, au Pas de l'Echelle, la voie n'est plus praticable car la falaise a été creusée pour la carrière. Nous descendons par des escaliers taillés dans le rocher (il n'y a pas d'échelle). On aperçoit Arthur, le fils de Gérard, qui a été notre accompagnateur attentionné tout au long du parcours.
En dessous du tunnel, au Pas de l'Echelle, la voie n'est plus praticable car la falaise a été creusée pour la carrière. Nous descendons par des escaliers taillés dans le rocher (il n'y a pas d'échelle). On aperçoit Arthur, le fils de Gérard, qui a été notre accompagnateur attentionné tout au long du parcours.
En dessous du tunnel, au Pas de l'Echelle, la voie n'est plus praticable car la falaise a été creusée pour la carrière. Nous descendons par des escaliers taillés dans le rocher (il n'y a pas d'échelle). On aperçoit Arthur, le fils de Gérard, qui a été notre accompagnateur attentionné tout au long du parcours.

En dessous du tunnel, au Pas de l'Echelle, la voie n'est plus praticable car la falaise a été creusée pour la carrière. Nous descendons par des escaliers taillés dans le rocher (il n'y a pas d'échelle). On aperçoit Arthur, le fils de Gérard, qui a été notre accompagnateur attentionné tout au long du parcours.

Un bloc de granit erratique, qui fait parti d'un groupe important de blocs du même type. Il se trouve en limite de la vallée glaciaire qui descendait du massif du Mont Blanc. On voit la trace de l'extraction (en forme de couronne creuse) d'une meule devant servir pour un moulin.

Un bloc de granit erratique, qui fait parti d'un groupe important de blocs du même type. Il se trouve en limite de la vallée glaciaire qui descendait du massif du Mont Blanc. On voit la trace de l'extraction (en forme de couronne creuse) d'une meule devant servir pour un moulin.

Arrivée triomphale de Monique au bas du Pas de l'Echelle. Bien entourée par Arthur et son père Gérard, nos généreux accompagnateur et guide.

Arrivée triomphale de Monique au bas du Pas de l'Echelle. Bien entourée par Arthur et son père Gérard, nos généreux accompagnateur et guide.

Notre belle descente se termine au pied du Salève, à Veyrier.

Nous avons parcouru toute cette branche du circuit du train depuis le sommet du Salève, soit environ 750 m de dénivelé.

Les escaliers du Pas de l'Echelle et leurs marches, parfois très hautes et très irrégulières, ont été les plus difficiles à franchir, après le chemin en lacets, avec cailloux roulants sous les pieds et les trailers de l'extrême nous doublant dans la descente !
La voie du train en ligne droite, avec pente jusqu'à 25 % , faisait aussi une grande piste de descente !

 

Grand merci à Gérard et à Arthur.
Vous avez su nous faire découvrir et apprécier ce très bel élément du patrimoine historique et naturel de votre région, qui vous est chère.
Nous avons adoré cette visite avec vous, et nous le ferons savoir.

 

Vive La SALEVIENNE et vive ARHYME !
et toutes les autres associations représentées par les nombreux participants à la visite.